Je voudrai chassait,
Cette ombre de mon coeur,
Qui avance de plus en plus,
Et qui me conssume,
Comme une flamme,
Le ferrait avec un simple papier,
Je voudrais m'envoler loin de cette douleur,
Qui me détruit,
Petit a petit,
Moi qui avant était pleine de joie de vivre,
Maintenant les pensés les plus dangeureuse m'abite,
Et j'avance dans cette foule en hurlant,
Mais ou pourtant,
Personne ne m'entant,
Je voudrait partir loin,
Mais quatre murs de pierre m'en empeche,
Les murs de ma futur tombe.
Un jour on m'a dit :
Il est toujours plus facile de s'autodétruire
Que de s'assumer ...